- EAN13
- 9782360811731
- ISBN
- 978-2-36081-173-1
- Éditeur
- Cornélius
- Date de publication
- 16/05/2024
- Collection
- KIM (1)
- Nombre de pages
- 32
- Dimensions
- 23,5 x 17,1 x 0,4 cm
- Poids
- 100 g
- Langue
- anglais
- Fiches UNIMARC
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Rassemblées pour la première fois dans un recueil, les histoires présentes dans ce 6e numéro de la collection Kim ont toutes pour point commun de jouer sur le nonsens et l’absurde. En partie muets — si l’on exclut les gimmicks, les onomatopées et les langues inventées — les courts récits de cet ouvrage laissent à Crumb tout le plaisir de jouer avec le dynamisme de son dessin. Les personnages sautent dans tous les sens, les corps se déforment à l’infini, poussés par un mouvement délirant permanent, ou évoluent dans un décor complètement surréaliste. À l’instar du célèbre « Keep on truckin’ », il faut continuer d’avancer coûte que coûte, même lorsque l’on a conscience de ne pas savoir où l’on va.
Réalisées entre les années 1966 et 1981, les histoires d’Absurd comics illustrent une veine particulière de Robert Crumb. Dictées par la drogue ou par la seule envie de dessiner, ces histoires se veulent sans récit, sans logique et sans contrainte de raconter quoi que ce soit. L’auteur se livre ici à un exercice d’écriture automatique, comme le fit peu de temps après lui Moebius — ce dernier résumait l’expérience ainsi : « On peut très bien imaginer une histoire en forme d’éléphant, de champ de blé, ou de flamme d’allumette soufrée. »
En s’affranchissant du récit et en laissant le pouvoir à l’inconscient, Crumb trouve une nouvelle liberté qui lui inspire des pages graphiquement fabuleuses, parmi les plus belles et les plus inconvenantes qu’il ait dessinées au cours de sa carrière.
Réalisées entre les années 1966 et 1981, les histoires d’Absurd comics illustrent une veine particulière de Robert Crumb. Dictées par la drogue ou par la seule envie de dessiner, ces histoires se veulent sans récit, sans logique et sans contrainte de raconter quoi que ce soit. L’auteur se livre ici à un exercice d’écriture automatique, comme le fit peu de temps après lui Moebius — ce dernier résumait l’expérience ainsi : « On peut très bien imaginer une histoire en forme d’éléphant, de champ de blé, ou de flamme d’allumette soufrée. »
En s’affranchissant du récit et en laissant le pouvoir à l’inconscient, Crumb trouve une nouvelle liberté qui lui inspire des pages graphiquement fabuleuses, parmi les plus belles et les plus inconvenantes qu’il ait dessinées au cours de sa carrière.
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